Thomas Jefferson 1802
mardi 23 décembre 2008
Visionnaire
Thomas Jefferson 1802
lundi 22 décembre 2008
Les 35 heures, amortisseur inattendu de la crise !
Les socialistes ont décidément raison !
Le Figaro titre ce lundi 22 décembre 2008
Les 35 heures, amortisseur inattendu de la crise
Critiquées il y a encore six mois, les RTT reviennent en grâce parce qu'elles offrent une certaine flexibilité en temps de crise.
dimanche 30 novembre 2008
A Voir !
EXPOSITION DU 26 NOVEMBRE 2008 AU 28 FÉVRIER 2009 - DU MERCREDI AU DIMANCHE DE 14H À 18H
Commanderie des Templiers de la Villedieu
Route de Dampierre - CD 58 – Élancourt/Saint-Quentin-en-Yvelines 78990
Exposition réalisée grâce au soutien fidèle de François Neveu, président de l’association des amis du Musée
mercredi 26 novembre 2008
Sauvons les RASED !
3000 professionnels de RASED supprimés des milliers d'élèves en difficulté sur le carreau !
La brutalité de cette décision vient souligner la contradiction d'une politique ministérielle qui prétend faire de la lutte contre l'échec scolaire une « priorité. » La mise en place des deux heures d' « aide personnalisée » ne peut se substituer au travail effectué dans le cadre des Réseaux d'Aides, qui ont été créés pour répondre aux besoins particuliers des élèves en difficulté.
Nous exigeons le maintien des aides spécialisées proposées par le dispositif des RASED et ses trois catégories de professionnels titulaires de diplômes spécifiques (maître E, rééducateur et psychologue de l'éducation nationale)
Pétition à l'initiative de :SNUipp FSU SGEN-CFDT SE-UNSA SUD éducation SNUDI FO SMedEN FO FNAME FNAREN AFPEN FERC-CGT
Organisations soutenant cette initiative :AVENIR-ECOLES CRAP Cahiers pédagogiques AGSAS ICEM UDAS
mardi 11 novembre 2008
Bonnes nouvelles
Avant tout, merci de contribuer à faire connaître les élus de l'opposition et de citer mon nom aussi fréquemment dans votre lettre de L'UMP.
Un peu de publicité gratuite ne fait pas de mal et contribue à faire croître ma notoriété !
Oui, j'ai toujours été un homme libre n'hésitant pas à prendre position !
Oui, je suis un homme qui pense que l'écoute est importante !
Oui, je suis un homme qui avec mon équipe fait des propositions !
Oui, je respecte toutes les composantes de mon équipe !
Ne vous en déplaise, Monsieur le Maire, l'opposition de gauche à Elancourt existe ! Elle est unie autour des valeurs fondamentales de la Gauche.
Pourriez vous avoir l'obligeance d'en tenir informé votre premier adjoint qui faute de ne pouvoir vociférer en Conseil Municipal pour cause de retransmission, déverse son idéologie d'un autre temps dans une publication d'un parti qui se veut pourtant respectable.
Non, Monsieur le Député Maire, l'OPA que vous avez essayé de faire sur l'opposition en ralliant cette pauvre Dominique Lochon esseulée et assoiffée de pouvoir n'a pas réussi. Celle-ci vous a rejoint en perdant ses quelques supporters.
Sachez que les Hommes de bonne volonté, qui ont à cœur l'intérêt général, ne renoncent jamais à défendre ceux qui ont besoin d'être soutenus. Entre autres, ces classes moyennes écrasées par les mesures que vous votez quotidiennement à l'Assemblée Nationale en tant que Député UMP.
C'est avec sérénité que je conduis l'opposition à Elancourt. Les élus de gauche sont présents et proposent. Ils sont à l'écoute des Elancourtois.
Les électeurs qui nous ont accordé leur confiance sont dignement représentés par une équipe qui reste au plus près de leurs préoccupations quotidiennes. Les témoignages de sympathie, les sollicitations de plus en plus fréquentes, nous laissent penser que demain les Elancourtois seront encore plus nombreux à nous soutenir !
dimanche 9 novembre 2008
J'écris ton nom ...
Les colporteurs le groupe de rock que vous ne verrez pas à Elancourt, à écouter et diffuser largement pour sa poésie impertinente !Le CD+Clip existe. La vente de ce CD SINGLE (4€ + frais de port) conditionne l’élaboration d’un album entier qui devrait sortir au printemps 2009. Ne vous gênez pas à les aider dans la diffusion de cette info. lescolporteurs@orange.fr
vendredi 24 octobre 2008
Lutte contre l'echec scolaire : la solution par le vide vue de l'UMP !
La lutte contre l’échec scolaire n’est pas une priorité du ministre de l’Education nationale. C’est pourquoi il décide de supprimer des postes dans les Réseaux d'aides spécialisées aux enfants en difficulté !!
Les RASED ont un rôle spécifique. Ils sont composés de psychologues scolaires, d'enseignants spécialisés chargés des aides à dominante pédagogique, les “maîtres E” (difficultés d’apprentissage), des enseignants spécialisés chargés des aides à dominante rééducative, les “maîtres G” (difficultés d’adaptation à l’Ecole). L’aide spécialisée qu’ils dispensent ne se confond pas avec un soutien scolaire ponctuel et externalisé.
Dans le prolongement de la lettre ouverte signée par 17 organisations dont la FCPE pour la préservation et le développement des RASED, les représentants de parents FCPE qui seront élus cette semaine demanderont que, lors des conseils d’école, toutes les équipes pédagogiques informent les parents sur le rôle des RASED, leur fonctionnement, les besoins utiles pour la résolution de la difficulté scolaire dans leur école et les risques liés à la suppression des postes l’année prochaine.
La FCPE invite les syndicats d’enseignants, les associations de maîtres spécialisés et les psychologues scolaires à remplir leur rôle d’information et de vigilance et à s’assurer que ce point sera traité dans tous les conseils d’école.
(source communiqué FCPE)
vendredi 10 octobre 2008
Crise : les socialistes proposent !
Un peu de mémoire : Nicolas Sarkozy avait indiqué, le 16 août 2007, à propos de la crise des subprimes que "Ces mouvements de marché ne sauraient affecter durablement la croissance de nos économies qui est robuste" . La ministre des finances a déclaré le 20 septembre 2008, que "le gros risque systémique craint par les places financières est derrière nous ".
Le parti socialiste a lui dénoncé dès l'été 2007, à propos du paquet fiscal de 15 milliards, les effets néfastes d'une politique libérale soutenue par l'UMP. Les socialistes présentent six propositions pour sortir de la crise.
- Permettre l’accès au crédit des PME et des accédants à la propriété par la mise en place d’un fond national de garantie
- Stimuler l’investissement des entreprises
- Soutenir le pouvoir d’achat
- Stimuler l’investissement public par les dotations aux collectivités locales
- Convoquer un Conseil européen pour redéfinir les règles du système
financier - Mise en place d’un nouveau Bretton Woods
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La menace principale sur l’économie française, c’est l’incapacité pour les entreprises françaises qui veulent financer leurs projets d’investissement d’accéder aux crédits. Et c’est aussi une crise très grave sur le marché de l’immobilier : les accédants à la propriété, même avec un apport personnel, ne pourront pas trouver le complément sous forme de crédits, même à des taux d’intérêts élevés. Le premier devoir, dans cette situation, c’est de créer un Fonds National de Garantie qui permettrait sur les projets des PME et sur le marché immobilier pour l’accession à la propriété de garantir aux banques, par un système de caution publique, les crédits qui seraient ainsi distribués.
Stimuler l’investissement des entreprises
Il ne peut pas y avoir redressement de la croissance s’il n’y a pas de création de richesses à travers des choix d’investissements. Et dans ces moments de crise, de troubles, d’inquiétude, de peur, la première tentation pour beaucoup d’entreprises est de renoncer à des choix d’avenir, de rétracter la décision d’investissement ou de son ampleur. Il faut absolument que soit stimulé l’investissement des entreprises.
Et comment ? Il faut baisser l’impôt sur les sociétés pour les entreprises qui réinvestissent leurs bénéfices et relever l’impôt sur les sociétés pour celles qui distribuent leurs profits sous forme de dividendes. Les profits doivent aller à l’investissement et non pas à l’alimentation du marché boursier. De la même manière, il faut baisser de façon exceptionnelle l’impôt sur les sociétés des petites entreprises, et notamment les plus innovantes, parce que ce sont elles qui assureront le redémarrage de l’activité et de la croissance.
Soutenir le pouvoir d’achat
Il faut avoir la volonté de mettre en cause tout le système d’exonération de cotisations sociales. Pour beaucoup, cet allègement de charges était lié aux 35 heures. Dès lors que les 35 heures ont été mises en cause, mises en pièces, il ne peut plus être accepté de verser des exonérations de cotisations sociales sans contrepartie. Il faut donc conditionner les exonérations de cotisations à l’emploi et à l’augmentation de salaires, non pas à l’ouverture de la négociation salariale, mais à la conclusion sous forme d’un accord salarial signé par une majorité de syndicats, selon le critère de la représentativité. Soutien au pouvoir d’achat par la généralisation du chèque transport : la mesure du gouvernement n’est qu’une mascarade ; elle laisse penser qu’il va y avoir un soutien pour alléger le coût des déplacements de nos concitoyens, alors que le mécanisme est facultatif. Il faut le rendre obligatoire.
Il faut relever les allocations familiales. Nous avions parlé de l’allocation de rentrée scolaire. Aujourd’hui, ce sont les prestations familiales qui doivent être revalorisées à partir d’économies prises sur la suppression du paquet fiscal.
Stimuler l’investissement public par les dotations aux collectivités locales
Si les collectivités locales, qui représentent 73% des investissements civils en France, renoncent à des projets d’investissement d’infrastructures ou d’amélioration de notre environnement ou de logements, alors la faiblesse de l’investissement privé – si elle n’est pas corrigée - couplée à une rétraction de l’investissement public aggravera encore les risques sur la croissance. Il faut donc que les dotations de l’État aux collectivités locales soient au mieux augmentées et pour le moins stabilisées, alors qu’elles sont en réduction en valeur réelle. Cela permettrait de garder trois priorités pour l’investissement public : l’Éducation, les transports collectifs et les économies d’énergie et le logement.
Convoquer un Conseil européen pour redéfinir les règles du système financier
Il faudrait d’abord coordonner nos politiques économiques, et notamment nos politiques budgétaires. Il se trouve qu’il y a des États en Europe qui ont mieux géré leurs finances publiques et qui ont la capacité pour intervenir, notamment l’Espagne.
Il faudra donc, puisque les États n’en ont plus la capacité, lever un emprunt européen pour financer les dépenses d’infrastructures susceptibles de soutenir la croissance dans cette période. La Banque européenne d’investissement en aurait la responsabilité.
Mais il faut aller plus loin, notamment pour prévenir d’autres crises. Il faut un contrôle public des agences de notations. Il faut avoir des systèmes de contrôles des comptes, par exemple en finançant, par une redevance sur les banques, des commissaires aux comptes pour les rendre indépendants ; il faut avoir une obligation de transparence sur les produits financiers et savoir exactement quelle est la place des fonds spéculatifs dans le bilan des banques européennes. Il faut réglementer strictement les procédures de ventes à découvert qui sont à l’origine des phénomènes de spéculation qui affaiblissent l’ensemble du système financier. Il faut avoir une discussion ferme la Banque Centrale Européenne pour la gestion des taux d’intérêts. Car ce qu’il faut lui demander, c’est de ne pas regarder simplement le compteur de l’inflation – nous ne sommes pas, aujourd’hui, dans une situation de risque - mais d’avoir comme références la croissance et l’emploi et, en même temps, de fournir des liquidités suffisantes à l’ensemble du système bancaire.
Dernière obligation : mettre en cause ces paradis fiscaux qui ont permis à certains fonds spéculatifs d’entretenir la crise.
Mise en place d’un nouveau Bretton Woods
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, des pays qui étaient sortis d’un conflit tragique ont été capables de mettre de l’ordre dans les fluctuations des monnaies avec le souvenir que l’anarchie dans les fluctuations des monnaies n’avait pas été pour rien dans les catastrophes politiques de l’entre-deux guerres. Aujourd’hui, alors même que nous connaissons une crise grave – ne faisons pas de comparaison d’ailleurs avec celle de 29, car nous avons connu d’autres crises depuis la Seconde Guerre mondiale - l’exigence est de remettre de l’ordre dans les fluctuations des monnaies et de convoquer une conférence monétaire internationale pour les marges de fluctuations.
dimanche 28 septembre 2008
De véritables propositions pour les français.
Dans tous les domaines, fiscalité, pouvoir d'achat, contrôle du pouvoir bancaire, éducation ou culture de véritables idées nouvelles sont mises en avant. En matière de protection de l'environnement, la transformation radicale de notre mode de développement est retenue dans la majorité des motions. Nous pensons à l'avenir de notre terre et non aux profits immédiats du libéralisme.
Cette politique libérale du tout, tout de suite, au détriment de l'humain, nous la récusons. L'actualité nous donne raison.
jeudi 25 septembre 2008
NON à la privatisation de La Poste !
Le gouvernement a maintenant l’intention de privatiser La Poste en en faisant une société anonyme dont le capital sera introduit en bourse. Gérard Larcher, sénateur-maire UMP de Rambouillet et futut Président du Sénat avait préconisé un capital public dans un rapport sur La Poste.
Cette réforme sonnerait le glas du service public postal, c’est-à-dire de l’un des services publics essentiels à l’exercice réel des droits des citoyens, en l’occurrence du droit à la communication. Nous devons l’empêcher, car nous voulons que ce droit fondamental puisse continuer à s’exercer avec des garanties qu’une gestion privée ne peut apporter.
Les socialiste demandent concrètement : de ne pas sacrifier davantage la présence des bureaux de poste dans les zones rurales et les quartiers populaires, partout où l’activité de La Poste ne peut dégager une rentabilité importante, d’améliorer les conditions de distribution du courrier et d’accueil des usagers, et non de les moduler en fonction de l’intérêt financier des zones couvertes et de garantir le prix unique du timbre, de pérenniser la distribution six jours sur sept, supérieure aux obligations européennes. Enfin de permettre aux foyers les plus modestes de trouver encore un partenaire bancaire au sein de La Poste, attentif à leur situation.
La privatisation de La Poste ne va pas améliorer la qualité du service rendu, mais au contraire la dégrader et rendre celui-ci beaucoup plus inégalitaire.
Les socialistes s'opposent donc vigoureusement à cette privatisation. Ils demandent que le gouvernement ouvre un grand débat public sur les missions de La Poste et sur l’amélioration du service rendu en réponse aux besoins de la population, ainsi que sur les nouvelles formes de gestion qui permettront de démocratiser les services publics en impliquant davantage les représentants des usagers, des salariés et des élus.
mercredi 24 septembre 2008
SITE MIEUX VIVRE A ELANCOURT
Nous espérons rétablir le lien et vous transmettre de nouvelles informations dès que possible.
Conseil Municipal sur Internet
http://www.ville-elancourt.public-i.tv/site/
lundi 22 septembre 2008
Merci
Un message de Caroline parmi d'autres :
"J'espère que nous allons continuer comme cela bravo pour votre blog M. Besseau Nous sommes heureux que la gauche reprenne courage à Élancourt."
SENAT : Une veritable avancée pour la gauche !
Ils rejettent un gouvernement qui, sous couvert d'une réforme de l'Etat, donne aux collectivités locales des charges sans leur fournir les moyens de les assumer.
Espérons que le gouvernement et l'UMP réfléchirons. Un peu d'humilité, moins d'arrogance, des réformes sans priviligier une minorité, c'est ce que demandent nos élus !
mercredi 17 septembre 2008
Un silence assourdissant !
Les Etats-Unis nationalisent pour ne pas s'enfoncer un peu plus dans le marasme.
Depuis longtemps les socialistes revendiquent la mise en place d'un Etat régulateur. Ce n'est ni plus, ni moins d'Etat que nous voulons, mais mieux d'Etat. Seule une régulation par l'intermédiaire de la puissance publique permettra d'éviter le chaos.
Depuis 4 jours nous attendons une déclaration du Président de la République sur la crise financière la plus grave depuis 1929. Le Président cherche la moindre occasion pour paraître, sur ce sujet son silence devient assourdissant.
lundi 15 septembre 2008
Engagement
Le parti socialiste vient de réaffirmer que "l’être humain est un être doué de raison, libre, un être social qui grandit de sa relation aux autres, ouvert à toutes les potentialités. C’est pour cela que les conditions dans lesquelles il vit sont essentielles. Bâtir un monde nouveau et meilleur, respectant la dignité de la personne humaine et assurant la sauvegarde de la planète est la tâche première des socialistes, celle qui motive un engagement renouvelé pour le progrès au fil des générations, par-delà les moyens mis en œuvre, qui, eux, se formulent différemment dans le temps selon les enjeux et les problèmes."
Œuvrer pour le bien être de mes concitoyens tel est mon objectif politique.