La mission locale est un espace d'intervention au service des jeunes. La mission de cette structure est donc d'informer, d'orienter et d'accompagner les jeunes de 16 à 25 ans pour les aider à résoudre l'ensemble des problèmes que pose leur insertion sociale et professionnelle.
Cette structure d'accueil apporte aux jeunes des réponses aux questions d'emploi, de formation mais aussi sur le logement ou la santé. Chaque jeune accueilli bénéficie d'un suivi personnalisé dans le cadre de ses démarches. Chacun, selon son niveau, ses besoins, ses difficultés bénéficie de réponses individualisées pour définir son objectif professionnel et les étapes de sa réalisation, pour établir son projet de formation et l’accomplir, pour accéder à l’emploi et s’y maintenir.
Le gouvernement à décidé pour tirer toutes les conséquences de la création d’un opérateur unifié (Pôle emploi) de diminuer la participation de l’État dans les missions locales et les maisons de l’emploi.
Voilà une très mauvaise nouvelle qui va à l’encontre de l’intérêt des jeunes. Le gouvernement devrait continuer l’effort engagé et faire de l’emploi des jeunes une priorité nationale. Nous comprenons d’autant plus mal l’annonce de restriction budgétaire alors que le chômage des jeunes ne recule pas. Le Président de la République a annoncé lui même qu'il fallait prendre en charge les jeunes dès la sortie du système scolaire dans le cadre de ce qu’on appelle les plates-formes anti-décrocheurs, au sein desquelles les missions locales, en tant qu’acteur pivot de l’accompagnement des jeunes, devraient être largement sollicitées.
Une autre orientation devrait être au contraire choisie. Il est important d'investir dans l’accompagnement en faveur de l’emploi des jeunes, d’autant plus que le réseau des missions locales a du faire face à la crise. Un consensus était apparu sur l’urgence de mettre en place des moyens pour la jeunesse. N'oublions pas que si l'on améliorait sensiblement la question de l’emploi des jeunes, on améliorerait en même temps l’équilibre du régime de retraite.
Remettre en cause le financement des missions locales est une lourde erreur sociale, politique et économique. Il faut replacer les choses en perspectives. La dotation de l’État pour les missions locales se monte à 182 millions d’euros, soit l’équivalent de ce que l’État n’a pas versé à Pôle emploi (187 millions d’euros sur le 1,36 milliard d’euros annuel prévu). De fait l'État a déjà économisé l’équivalent de la dotation des missions locales.
Si nous en doutions, nous en avons la confirmation, les jeunes n'intéressent pas le gouvernement ! Celui-ci préfère avantager en maintenant le bouclier fiscal les plus nantis qui n'aurons pas de mal à insérer leur descendance !
Cette structure d'accueil apporte aux jeunes des réponses aux questions d'emploi, de formation mais aussi sur le logement ou la santé. Chaque jeune accueilli bénéficie d'un suivi personnalisé dans le cadre de ses démarches. Chacun, selon son niveau, ses besoins, ses difficultés bénéficie de réponses individualisées pour définir son objectif professionnel et les étapes de sa réalisation, pour établir son projet de formation et l’accomplir, pour accéder à l’emploi et s’y maintenir.
Le gouvernement à décidé pour tirer toutes les conséquences de la création d’un opérateur unifié (Pôle emploi) de diminuer la participation de l’État dans les missions locales et les maisons de l’emploi.
Voilà une très mauvaise nouvelle qui va à l’encontre de l’intérêt des jeunes. Le gouvernement devrait continuer l’effort engagé et faire de l’emploi des jeunes une priorité nationale. Nous comprenons d’autant plus mal l’annonce de restriction budgétaire alors que le chômage des jeunes ne recule pas. Le Président de la République a annoncé lui même qu'il fallait prendre en charge les jeunes dès la sortie du système scolaire dans le cadre de ce qu’on appelle les plates-formes anti-décrocheurs, au sein desquelles les missions locales, en tant qu’acteur pivot de l’accompagnement des jeunes, devraient être largement sollicitées.
Une autre orientation devrait être au contraire choisie. Il est important d'investir dans l’accompagnement en faveur de l’emploi des jeunes, d’autant plus que le réseau des missions locales a du faire face à la crise. Un consensus était apparu sur l’urgence de mettre en place des moyens pour la jeunesse. N'oublions pas que si l'on améliorait sensiblement la question de l’emploi des jeunes, on améliorerait en même temps l’équilibre du régime de retraite.
Remettre en cause le financement des missions locales est une lourde erreur sociale, politique et économique. Il faut replacer les choses en perspectives. La dotation de l’État pour les missions locales se monte à 182 millions d’euros, soit l’équivalent de ce que l’État n’a pas versé à Pôle emploi (187 millions d’euros sur le 1,36 milliard d’euros annuel prévu). De fait l'État a déjà économisé l’équivalent de la dotation des missions locales.
Si nous en doutions, nous en avons la confirmation, les jeunes n'intéressent pas le gouvernement ! Celui-ci préfère avantager en maintenant le bouclier fiscal les plus nantis qui n'aurons pas de mal à insérer leur descendance !